La coloration des étoffes se fait en plusieurs étapes : une longue préparation des tissus afin qu’ils soient prêts à recevoir la teinture, puis des décoctions de plantes, ensuite une cuisson lente dans le bain de teinture qui est régulièrement et soigneusement remué pour que la couleur infuse harmonieusement, puis un lavage, un séchage et un repassage doux.

Les étoffes sont choisies pour leurs qualités respectueuses de l’environnement. Les écharpes et chèches sont totalement écoresponsable. Ils sont tissés, filés et teints artisanalement (à la main). J’utilise aussi des tissus de coton de drap ancien recyclé, du coton-lin bio français.

Foulards en soie naturelle mixte femme & homme, teintures naturelles faites à la main en petite quantité avec des produits biologiques et naturels.

Foulards 100 % soie naturelle, teints à la main avec des plantes tinctoriales « grands teints » que vous porterez de longues années.

Les teintures naturelles sont à partir de végétaux (feuilles, tiges, racines, fleurs, écorces …) de lichens, de champignons, de minéraux (sulfate de fer, cuivre..) ou encore d’insectes (cochenilles..).

Étole en soie, en lin, en coton bio, mixte femme & homme, teintures naturelles faites à la main avec une cuve naturelle sans produit chimique ni toxique.

Pour la teinture des Indigos (de Pastel des Teinturiers notamment) c’est une méthode dédiée qui nécessite une grande patience d’exécution et une technique exigeante pour obtenir des couleurs « solides » c’est-à-dire qui ne fanent pas.
Pour teindre en bleu je prépare une « cuve » naturelle innovante mise au point par Michel Garcia qui est totalement organique et non toxique.

Foulard en voile de coton bio, pochettes origami, pochettes natures, cadres d’herbier poétique, dont les motifs sont de véritables végétaux martelés sur le tissu puis fixés indélébilement.

Le Tatakizome : parallèlement à la coloration, je créé manuellement des motifs uniques de végétaux.
Je martèle de véritables plantes fraîches directement sur le tissu, ainsi l’empreinte de la plante s’imprègne dans la fibre. Tatakizome signifie « teindre en martelant » en japonais.
Nous obtenons une «photo» du végétal fascinante de réalité et durable dû à la réaction entre les tanins et les fixateurs.